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« Cendre brute »:
est le terme légal englobant essentiellement les minéraux présents dans l'alimentation. Plus simplement on peut dire : cendre brute = minéraux.
- D'un point de vue nutritif et physiologique, les minéraux se divisent en éléments principaux tels que calcium, phosphore, magnésium, sodium, potassium et chlore ainsi qu'en éléments traces tels que fer, cuivre, zinc, manganèse, cobalt, sélénium et iode, pour ne citer que les plus importants.
- Les minéraux sont souvent associés exclusivement au squelette. Ce n'est cependant qu'une partie de leur fonctions et elle ne concerne que le calcium, le phosphore et le magnésium. En outre, les éléments principaux et les éléments traces tiennent des rôles beaucoup plus vastes dans le métabolisme du système nerveux et des muscles, dans la balance d'eau, dans la synthèse du sang, dans la pigmentation, en tant que composante d'un grand nombre d'enzymes et d'hormones du métabolisme, dans la fertilité etc..
- Il faut ici tenir compte du fait qu'en raison de ces rôles nombreux et variés, une insuffisance comme un excès ou un déséquilibre en minéraux peut provoquer des troubles graves.
- C'est pourquoi vous ne devez pas suppléer nos aliments complets par des compléments minéraux hautement concentrés. Il existe sinon un fort risque de voir apparaître des déséquilibres et donc de générer l'effet inverse à celui souhaité en enrichissant nos préparations.
- Dans la pratique, ces concentrés minéraux sont souvent, et de façon erronée, distribués en prévention des anomalies du squelette, en particulier pour les chiens en pleine croissance. Ce n'est normalement pas nécessaire.
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« Cellulose brute »
est le terme légal englobant essentiellement les fibres végétales présentes dans l'alimentation. Plus simplement on peut dire : cellulose brute = fibres végétales.
La cellulose brute désigne également en grande partie les composants fibreux des plantes, que l'on appelle souvent « fibres alimentaires ».
- Les composants végétaux relativement difficiles à digérer et rassemblés sous le terme cellulose brute ont des propriétés physiques est chimiques très diverses et ont donc une fonction de régulation de la digestion très importante pour les animaux domestiques. L'effet régulateur de la cellulose brute a deux aspects. D'une part elle contribue à la solidification des selles, d'autre part elle a un effet purgatif. Vous connaissez cet effet par le son du blé, qui joue encore aujourd'hui un rôle important dans l'alimentation des humains. Le son lui aussi est en grande partie constitué de cellulose brute.
L'effet régulateur de digestion de la cellulose brute touche entre autres:
- la capacité d'assimilation de l'eau, qui se manifeste par une augmentation des selles conditionnée par une plus faible digestibilité et l'influence de ce qu'on appelle la flore intestinale.
- Par flore intestinale, on entend les bactéries (importantes et nécessaires) qui sont toujours présentes dans l'intestin, et surtout le gros intestin, des animaux en bonne santé. Pour assurer une activité intestinale saine et naturelle, nos chats et nos chiens doivent également recevoir une dose minimale de fibres en plus de sa nourriture et ce sous une forme et dans une quantité appropriées.
En raison de sa faible digestibilité, une quantité trop importante de cellulose brute peut entraîner une hausse importante de la quantité de selles. De plus, une part trop importante de cellulose brute nuit à la digestion et par conséquent à l'assimilation des autres aliments essentiels présents dans l'alimentation.
Il faut ici préciser cependant qu'en plus des fibres alimentaires constituées par la cellulose brute, il existe une grande variété d'autres produits d'origine végétale ayant un effet de régulation de l'intestin et de la digestion. Parmi eux se trouvent en particulier:
- les composants végétaux solubles qui ne peuvent pas être dissous dans les premières parties de l'intestin par les enzymes de digestion, mais qui peuvent être utilisées et transformées en précieux nutriments dans les parties arrière de l'intestin (en particulier dans le gros intestin) par les bactéries qui s'y trouvent. Ainsi, en sélectionnant de façon ciblée ces « fibres diététiques », il est possible de développer les groupes de bactéries voulues et d'exclure les bactéries indésirables, celles qui par exemple peuvent provoquer des diarrhées. Enfin, la digestion peut ainsi mieux se faire et sans problème.
Comme souvent, la réussite ne tient pas seulement à la quantité de fibres alimentaires présente dans l'alimentation, elle dépend aussi et surtout de la juste combinaison de différentes fibres facilement et difficilement solubles.
- De ce point de vue, la valeur déclarée en cellulose brute est plutôt une cote de mesure des fibres difficiles à digérer, qui ne doivent constituer que 2 à 3 % de l'alimentation, car des valeurs plus élevées – comme nous l'avons dit – entraînent une baisse de la digestibilité et des selles plus importantes. Des quantités de cellulose brute plus élevées sont nécessaires uniquement si la valeur énergétique des aliments doit être sciemment réduite (p.ex. pour les animaux âgés, Light pour les animaux en surpoids). Les aliments connus pour leur fort taux de fibres alimentaires sont généralement les produits céréaliers, les légumes, les betteraves et autres. Comme vous le savez maintenant, la cellulose brute tient un rôle secondaire dans l'apport effectif de nutriments essentiels. Leur fonction, cependant importante, tient plus de l'équilibre de l'activité intestinale nécessaire à la digestion.
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« matières grasses brutes »
Matières grasses brutes est le terme légal englobant essentiellement les graisses présentes dans l'alimentation. Plus simplement on peut dire : matières grasses brutes = graisse.
La graisse n'est pas seulement un agent énergétique important. Les différents composants graisseux, les acides gras essentiels, ont un effet similaire aux vitamines dans le développement de la peau et des poils, ils ont cependant des fonctions différentes dans le métabolisme cellulaire et contribuent aux défenses de l'organisme. Dans ce domaine, les acides gras Oméga 6 (p.ex. acide linoléique, acide arachidonique) sont particulièrement importants, ainsi que les Oméga 3 (p.ex. acide linolénique, EPA, acide docosahexaénique). Dans la mesure où les acides gras essentiels sont très sensibles et fragiles, ils doivent être protégés par des substances antioxydantes (antioxygènes), afin d'éviter que n'apparaissent des insuffisances chez votre chien ou votre chat.
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« Protéine brute »
est le terme légal englobant essentiellement le blanc d'œuf (protéines) présent dans l'alimentation.
- Les protéines brutes sont pratiquement présentes dans chaque cellule du corps d'un chien ou d'un chat et joue un rôle important dans toutes les étapes de la vie. Il s'agit donc d'un aliment très important, dont le rôle dans l'alimentation doit également être mesuré.
- Mais pourquoi les chiens ou les chats réagissent-ils donc très différemment à divers aliments possédant les mêmes teneurs en protéines brutes selon la déclaration sur l'emballage ? En fait, cela dépend de la combinaison de protéine brute utilisée et des processus de digestion et de métabolisme.
Imaginons, pour simplifier, que la protéine brute des aliments est un collier de perles, les perles étant ce qu'on appelle des acides aminés. Il en existe une vingtaine de différents. L'ordre de ces acides aminés sur le rang de perles est fixé par la génétique et caractéristique de chaque composante de protéine brute. Cela vaut naturellement pour la protéine brute du corps des chats et des chiens.
Certains composants de la protéine brute, les acides aminés, doivent obligatoirement se trouver en quantité suffisante dans l'alimentation, car votre animal n'a pas la possibilité de les générer seul ou de les remplacer par d'autres nutriments. Quand on sait que les enzymes de digestion n'ont en principe pas d'autre fonction, tout comme le fil du collier de perles, que d'assurer la liaison des acides aminés, il devient clair que le chien et le chat doivent davantage recevoir la bonne alimentation en acides aminés qu'une alimentation prenant uniquement en compte la protéine brute en tant que telle.
Dans l'estomac, la structure de la protéine brute est décomposée en acides aminés, ceux-ci passent ensuite dans le sang et sont transportés aux endroits où l'animal doit construire sa propre protéine brute. Cependant, il ne dispose alors que des acides aminés fournis par son alimentation et assimilés par son organisme.
Plus l'alimentation est riche, c'est-à-dire plus la combinaison des acides aminés de la protéine brute fournie dans l'alimentation est adaptée aux besoins de l'animal, mieux la protéine brute pourra être utilisée par l'organisme de l'animal. Mais mieux la protéine brute est utilisée, plus sa quantité dans l'alimentation peut être faible, afin par exemple de fournir au chien tous les acides aminés dont il a précisément besoin.
C'est donc la raison pour laquelle les éleveurs nous disent souvent observer que la composition nos produits offre de meilleurs résultats que ceux de nos concurrents comportant des teneurs en protéines plus élevées. Cela vient sûrement aussi du fait que la protéine brute en excès doit être dégradée en urée, ce qui peut provoquer non seulement des pertes d'énergie mais aussi une sollicitation inutile du métabolisme et de certains organes (foie, reins). Et cela ne doit pas se produire. Ce n'est pas la concentration mais la qualité des protéines brutes qui fait la différence.
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Pas de soja:
Non, nous n'utilisons ni les protéines de soja ni l'huile de soja.
Les protéines brutes issues du soja sont très précieuses d'un côté, mais elles contiennent aussi (même après avoir été suffisamment chauffées) différents hydrates de carbone difficiles à digérer, qui peuvent entraîner des selles molles et des gonflements. De plus, une grande partie de la production de soja dans le monde vient de semences génétiquement modifiées.
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Pas de Farines Animales :
Non. Il faut indiquer ici que depuis 2001 (et la crise de la vache folle) il est formellement interdit d'utiliser des farines animales ou d'autres produits (p.ex. graisses) issus des d'établissements d'équarrissage pour produire des aliments.
- Cela concerne également les aliments pour animaux domestiques. Depuis 2002, seuls des produits issus d'animaux propres à la consommation (c'est-à-dire des animaux ayant subi des examens vétérinaires et acceptés pour l'abattage pour une viande destinée aux humains) peuvent être utilisés pour la production d'aliments pour animaux. Cette loi vaut pour l'ensemble de l'UE.
- Nous pouvons tout de même vous assurer qu'à aucun moment, même avant la publication de cette loi, nous n'avons utilisé de farines ou de graisses animales provenant des incinérateurs pour fabriquer nos aliments pour animaux. Nous avons toujours utilisé exclusivement des viandes d'animaux abattus destinées à la consommation humaine. Cette nouvelle réglementation ne nous a donc posé aucune difficulté.
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Régime alimentaire :
En principe, vous n'avez pas besoin de changer le régime alimentaire de votre chien ou de votre chat. Il peut recevoir année après année les mêmes aliments, dans la mesure où ceux-ci sont équilibrés et adaptés à ses besoins.
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Préparation de la ration :
En général, vous pouvez lui donner n'importe lequel de nos aliments à l'état sec, s'il dispose en même temps d'une quantité d'eau fraîche suffisante. La préparation intensive des produits d'extrusion et des flocons de céréales permet déjà d'obtenir une digestion et une assimilation optimales de la nourriture. L'humidification de la nourriture peut donc parfois seulement favoriser l'assimilation des aliments, en particulier dans le cas des produits d'extrusion et des flocons de céréales. Pour que cet effet qu'a l'eau à température ambiante soit bien exploité, il suffit généralement de laisser tremper la nourriture 10 à 15 minutes.
- À la différence des jeunes chiens et des chiens adultes, une juste préparation de la nourriture est particulièrement importante chez les chiots. Une alimentation mal dosée peut vite entraîner des troubles digestifs. Voici quelques recommandations pour la préparation de la nourriture de votre chiot :
1. Ramollissez systématiquement la nourriture pour chiots les 2 - 3 premiers mois. 2. Les premières semaines, il est conseillé de chauffer le liquide servant à ramollir la nourriture (eau ou lait pour chiots) de sorte qu'elle soit à environ 36 - 37° C. Attention, elle ne doit pas être trop chaude ! 3. À partir de la 3ème - 4ème semaine de leur vie, il faut doucement habituer les chiots à la nourriture pour chiots. Pour cela, les premiers jours, laissez ramollir seulement quelques croquettes dans leur écuelle avec de l'eau tiède ou du lait pour chiots et augmenter lentement la dose de nourriture sèche. Généralement, vous pouvez donner à votre chiot jusqu'à 15 g d'aliments pour chiots par kg pendant les 4 premières semaines, passez à 20 g par kg dans la 5ème semaine, jusqu'à 30 g par kg la 6ème semaine. Quand les chiots absorbent régulièrement 30 - 40 g d'aliments par kg, vous pouvez sans problème les séparer de leur mère. Cela fait, maintenez cette quantité de nourriture pendant les premiers jours. Au bout d'une semaine environ, vous pouvez augmenter les doses de nourriture en suivant les tableaux d'alimentation. 4. La nourriture des chiots ne doit pas être trop liquide ou réduite en bouillie. Nous recommandons 100 ml de liquide (eau tiède ou lait pour chiots) pour 100 g de nourriture sèche. Ce mélange ne couvrant pas tous les besoins en liquide des chiots, laissez-leur si possible une écuelle d'eau à température ambiante.
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Quantité journalière:
La nourriture pour chiens peut présenter des poids très spécifiques en fonction de sa composition et de son processus de production. C'est pourquoi il est absolument nécessaire de contrôler combien de grammes de nourriture contient l'écuelle si vous décidez de changer de nourriture. Adaptez ensuite la quantité de la nouvelle nourriture, sinon, vous risquez de suralimenter ou de sous-alimenter votre animal. Et n'oubliez pas de peser une fois la nouvelle nourriture ! Les quantités inscrites dans les tableaux d'alimentation sont des valeurs indicatives, qu'il faut abaisser ou augmenter selon les circonstances, selon l'activité ou l'âge de votre chien. L'œil critique du propriétaire et dans certains cas une pesée du chien sont très importants pour adapter au mieux la quantité de nourriture. Les chiens adultes doivent recevoir leur nourriture en quantité adaptée, de sorte que leur poids reste dans la fourchette spécifique à leur race.
Palpez votre chien au niveau des côtes, avec le bout de vos doigts. Vous devez sentir une fine couche entre la peau et les côtes. Cela détermine la constitution de votre chien.
Si vous avez l'impression que la peau de votre chien repose presque directement sur les côtes, et que votre chien paraît très mince ou maigre, c'est le signe qu'il ne reçoit pas assez de nourriture (s'il est tout de même en bonne santé). Commencez par augmenter la quantité de nourriture légèrement (env. 10 – 15 %) ou passez à une alimentation plus adaptée (contenant par exemple plus de graisse). Observez ensuite votre chien pendant un certain temps et palpez-le de nouveau. Si cela ne permet pas d'atteindre la constitution corporelle voulue, augmentez encore la dose de nourriture, avec précaution.
Si vous avez l'impression que les côtés sont « noyées » sous une épaisse couche de graisse, votre chien est en surpoids et doit maigrir. Commencez par réduire toutes les friandises et autres récompenses, même si vous les distribuez avec une bonne intention. Si cela ne suffit pas, réduisez la quantité de l'alimentation principale ou passez à des produits « Light » moins caloriques. Assurez-vous qu'il s'agit bien de produits Light. Ceux-ci ne doivent pas contenir plus de 7 % de graisse (max. 7 % de matières grasses brutes voire moins). En outre, la valeur énergétique doit être encore abaissée par le biais d'une plus forte dose de fibres alimentaires (proportion de cellulose brute min. 4 %, voire plus). Malgré tout votre amour, pensez que pour votre chien, un surpoids a les mêmes incidences que pour un homme (sur le cœur, les articulations et le squelette, la résistance physique, la fertilité etc.).
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légumes :
Dans nos aliments pour animaux, nous utilisons des carottes, des pois, du poireau et des épinards. Nous nous fournissons chez des producteurs allemands.
(Il faut préciser que pour nos produits Premium, nous donnons généralement la composition afin que vous puissiez facilement voir sur l'emballage les produits utilisés.)
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Levures
Il s'agit de levures de bière déshydratées avec soin et issues de brasseries allemandes.
(Il faut préciser que pour nos produits Premium, nous donnons généralement la composition afin que vous puissiez facilement voir sur l'emballage les produits utilisés.)
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Conservateurs :
- Non. Les conservateurs ont la propriété d'empêcher la dégradation microbienne d'un aliment (p.ex. moisissure).
- L'ajout de conservateurs n'a aucun sens pour nous car nos aliments se maintiennent en bon état de conservation par le seul biais du processus de déshydratation.
- Une déshydratation soignée permet de neutraliser les agents dégradants, de sorte qu'ils ne peuvent pas se développer. L'absence de conservateurs nécessite cependant le stockage de nos aliments dans des endroits frais et secs, pour éviter toute humidité.
En outre, les conservateurs doivent être indiqués sur l'emballage. La législation impose que pour les emballages de moins de 10 kg soit apposée l'inscription : « Contient des conservateurs (ou conservation avec) additif CE ». Les emballages de plus de 10 kg doivent porter les noms des conservateurs utilisés : (p.ex.) Contient des conservateurs (ou conservation avec) : XYZ...
Cependant, les antioxydants sont souvent faussement désignés sous le terme de conservateurs. Les antioxydants ne servent pourtant pas à la conservation des aliments, ils protègent les vitamines sensibles et les acides gras essentiels contre la décomposition par l'oxygène de l'air (par l'oxydation). >Vous trouverez d'autres explications relatives aux antioxydants dans la rubrique « Questions fréquemment posées »
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Utilisation d'antioxydants :
Oui. Comme de nombreuses rumeurs et contrevérités circulent à propos des antioxydants, voici quelques informations supplémentaires :
1. Quels sont réellement les effets des antioxydants ?
Les aliments pour chiens et pour chats doivent contenir des graisses, certains acides gras essentiels (p.ex. acide linoléique, acide arachidonique et entre autres Ω 3 ou Ω 6) et des vitamines (p.ex. vitamine A, vitamine E, vitamine K).
- Ces composants vitaux subissent cependant sans cesse des contraintes au cours du stockage et se dégradent ou se détruisent avec le temps. Le facteur déclencheur de la destruction des acides gras et des vitamines est l'oxygène contenu dans l'air. Cet effet est renforcé par la chaleur, les rayons ultraviolets et certains additifs.
- L'oxygène attaque les acides gras insaturés et les vitamines, cela crée un « radical graisseux » qui attaque à son tour d'autres acides gras et vitamines, selon une sorte de processus d'autodestruction. Le processus de dégradation se poursuit jusqu'à ce qu'il n'y ait plus d'acides gras insaturés et de vitamines.
- Il en résulte ce qu'on appelle les peroxydes, les aldéhydes, les acides et des produits de polymérisation, généralement responsables de l'odeur et du goût de la graisse. La graisse devient enfin rance. D'autres produits de décomposition nuisibles pour les chiens et les chats apparaissent.
- Les antioxydants ralentissent fortement ce processus de dégradation. Comme son nom l'indique, ils agissent contre (anti) l'oxydation des aliments, en particulier des acides gras essentiels et des vitamines. Si la nourriture contient peu ou pas d'acides gras essentiels suite au processus de dégradation, il peut s'ensuivre de graves troubles pour la santé (problèmes de croissance, poil sec et rêche, épaississement de la peau, pertes de poils et plus grande sensibilité aux infections de la peau).
- Une insuffisance prolongée en acides gras insaturés peut enfin entraîner des problèmes de cœur et une perte de fécondité. Si les vitamines sont également détruites, on peut aussi naturellement voir apparaître les symptômes typiques de carence en vitamines chez les chiens et les chats. Les vitamines et les acides gras essentiels sont donc vitaux pour les chiens et les chats et doivent donc être protégés contre toute action oxydante. C'est à cela que servent les antioxydants.
2. Quels sont les antioxydants autorisés ?
Actuellement (début 2005) 15 antioxydants sont autorisés dans les aliments. Les plus largement répandus sont le BHA (E 320), le BHT (E 321), le gallate de propyle (E 310), les extraits à forte teneur en tocophérol d'origine naturelle (E 306) et différents tocophérols synthétiques.
- L'homologation pour usage alimentaire demande un contrôle des effets de tous les antioxydants autorisés au niveau du cœur et des reins, où non seulement les modes de fonctionnement, mais aussi les éventuels effets nuisibles sont vérifiés.
- Les organes scientifiques de l'Union Européenne sont en train de recontrôler tous les additifs et de décider de leur homologation. Pour ces additifs, il est nécessaire d'apporter de nouvelles preuves ou de les actualiser sur l'efficacité et le caractère inoffensif des additifs en cours d'homologation, afin de renforcer la sécurité des additifs. Cela concerne également bien sûr les antioxydants.
- Pour certains antioxydants administrés à très fortes doses, il n'a pas pu être prouvé l'absence d'effets secondaires. Le législateur a donc défini des quantités maximales dans les aliments, dans une fourchette si faible que même en dépassant largement la dose autorisée, il n'y a aucun risque pour les animaux. Selon les produits, il a fallu multiplier la dose d'antioxydants jusqu'à 100 pour voir apparaître des effets nocifs sur les animaux.Le législateur a également mis en place un immense domaine de sécurité pour protéger les animaux contre tout effet secondaire nocif.
- Contrairement aux idées répandues, selon lesquelles les antioxydants favoriseraient l'apparition des cancers, bon nombre d'antioxydants ont un effet tout à fait opposé. Par exemple, le gallate de propyle possède d'indéniables propriétés contre l'apparition de tumeurs déclenchées par des agents spécifiques (p.ex. nitrosamine).
- Malheureusement, certains groupes d'intérêt, et certainement aussi en raison de la concurrence entre les producteurs d'antioxydants, ont tenté de porter le discrédit des antioxydants (des autres producteurs éventuellement). Il a en effet été avancé que des effets secondaires constatés avec de très fortes surdoses apparaîtraient avec des doses normales dans l'alimentation.
- Ce n'est absolument pas le cas avec les antioxydants homologués. Si c'était le cas, l'antioxydant en question n'aurait jamais été autorisé pour un usage alimentaire. L'ensemble des additifs et donc aussi les antioxydants sont régulièrement soumis à de nouvelles évaluations, afin d'en garantir l'efficacité et la sécurité. Les antioxydants sont des additifs importants et indispensables, en particulier quand il est critique et nécessaire de conserver vitamines et acides gras essentiels.
- Nous stabilisons les matières grasses sensibles exclusivement avec une combinaison de tocophérols et de gallate de propyle d'origine naturelle. La stabilisation principale s'effectue avec des extraits à forte teneur en tocophérol d'origine naturelle et issus des plantes. L'effet de préservation de ces tocophérols est grandement améliorée par l'ajout en faible quantité (traces) de gallate de propyle, une combinaison du groupe des gallates, également largement répandus dans la nature. À la différence des antioxydants « purement chimiques » (tels que ethoxiquin, BHA, BHT), ces antioxydants sont décomposés et assimilés facilement par l'organisme, de par leur structure organique. La combinaison que nous utilisons favorise un effet synergique des antioxydants, c'est-à-dire que la protection des matières grasses et des vitamines est améliorée car elle est en théorie assurée par l'action combinée des différents antioxydants. Les tocophérols et le gallate de propyle ne sont pas seulement autorisés dans les aliments pour animaux, on les trouve aussi dans d'autres aliments. Dans ce cas, il faut encore préciser que les effets secondaires découverts chez un bébé (cyanose) ne peuvent pas survenir chez les animaux domestiques, car leur cause est une particularité du métabolisme de l'enfant humain de moins de 6 mois. Nous n'utilisons pas les antioxydants synthétiques BHA ou BHT.
- Les tocophérols naturels issus des extraits appartiennent au même groupe que la vitamine E, mais ils ont un effet beaucoup plus faible qu'elle (acétate de vitamine E), qui par contre a un effet antioxydant nettement moindre dans les aliments (sur les graisses et les vitamines). La vitamine E agit sur le métabolisme des animaux, là où les tocophérols antioxydants n'ont pratiquement aucun effet.
Pour résumer on peut dire que les antioxydants sont des additifs très importants pour la qualité et surtout la santé des animaux, qu'ils sont soumis à des contrôles scientifiques et qu'ils peuvent être utilisés sans problèmes dans les doses autorisées. Les effets négatifs des vitamines et acides gras essentiels détruits sont dans tous les cas autrement plus nocifs pour la santé et le bien-être de votre chien et de votre chat.
En outre, les antioxydants doivent être indiqués sur l'emballage. La législation impose que pour les emballages de moins de 10 kg soit apposée l'inscription : « Contient des antioxydants, additif CE ». Les emballages de plus de 10 kg doivent porter les noms des antioxydants utilisés : (p.ex.) Contient des antioxydants : extraits à forte teneur en tocophérol d'origine naturelle
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Colorants synthétiques:
Non. Les différences de couleur des produits viennent des différentes composantes, vitamines et traces. C'est pourquoi les différences de couleur sont faibles, en comparaison avec les aliments enrichis en colorants synthétiques.
En outre, les colorants artificiels doivent être indiqués sur l'emballage. La législation impose que pour les emballages de moins de 10 kg soit apposée l'inscription : « Contient des colorants (ou coloré avec) additif CE ». Les emballages de plus de 10 kg doivent porter les noms des conservateurs utilisés : (p.ex.) Contient des colorants (ou coloré avec) : XYZ...
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Test sur les animaux
Non. L'orientation de notre société vis-à-vis des tests sur les animaux est clairement définie dans notre manuel de gestion de la qualité :
Chez bosch, le développement de nos nouveaux produits ne concerne que les projets se basant sur des données reconnues et suffisamment étudiées sur le plan scientifique.
- Nous refusons catégoriquement les tests sur animaux, entraînant des opérations graves sur les animaux ou entraînant des douleurs.
- Nous condamnons donc également les tests pratiqués dans le passé et qui ont provoqués de terribles souffrances pour les animaux. Selon la presse, ces tests ont été également pratiqués par certaines sociétés de production d'aliments pour animaux.
- Nous pensons que de nombreux tests sur les animaux et les souffrances qu'ils engendrent pour les animaux n'ont souvent pas lieu d'être compte tenu des résultats et de leurs conséquences. On a même de plus en plus l'impression que ces tests servent en fait de prétexte à des déclarations Marketing ultérieures dans des magazines etc.
Naturellement, nous devons toujours faire faire une « évaluation » de nos produits par des animaux, pour par exemple analyser l'influence de nouveaux ingrédients, de nouveaux processus de fabrication etc. sur la qualité de nos produits. Les chiens et les chats sont des êtres vivants dont les réactions (comme pour les machines) ne peuvent pas être calculées à l'avance.
- Les tests d'acceptance également prévus dans le cadre du développement de produits servent cependant uniquement à vérifier l'acceptation et la digestibilité de nos aliments pour animaux. Les propriétaires nous communiquent entre autres le comportement des animaux quand ils mangent, la consistance des selles, la qualité du pelage et éventuellement le développement général et l'état visuel des animaux.
- Les tests d'acceptance sont soit effectués dans un cadre privé soit dans des chenils adaptés et – comme nous l'avons dit - toujours par les propriétaires mêmes des animaux. Dans la mesure où le propriétaire a un grand intérêt à épargner à son animal tout « désagrément », les tests d'acceptance que nous effectuons n'ont sûrement rien à voir avec les « tests sur animaux » dont nous avons parlé.
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Vitamines K3
Oui. Comme de nombreuses rumeurs et inepties circulent sur la vitamine K3, voici quelques informations supplémentaires :
Depuis quelques années, on parle des soi-disants effets secondaires néfastes de la vitamine K3. Nous pouvons vous dire que, selon nos informations actuelles, ces discussions ne reposent sur aucune donnée scientifique. Jusqu'à aujourd'hui, il n'a été effectué aucune étude scientifique poussée prouvant ces soi-disants effets secondaires néfastes de la vitamine K3 absorbé dans les doses généralement utilisées dans la nourriture pour animaux. Toutes les informations allant dans ce sens proviennent de la même source. Malheureusement, ces fausses informations sont sciemment répandues par des « spécialistes » autoproclamés et intégrées rapidement par la « presse à scandale », sans en contrôler l'origine et la véracité.
La faculté vétérinaire de Hanovre a effectué récemment des études sur la question des effets secondaires de la vitamine K3. Pendant six mois, un aliment a été enrichi avec 200 mg de vitamine K3 n'a eu aucun effet sur la santé des animaux tests (des inséparables)*. Aucune des suppositions répandues sur Internet n'ont ainsi pu être confirmées.
De la même manière, le conseil d'experts de l'institut fédéral d'évaluation des risques a énoncé sa position en août 2004 : « Après concertation des experts, on peut dire qu'il n'existe aucune preuve scientifique d'effets secondaires catégoriquement causés par la vitamine K ou des substances contenant des actifs de vitamine K ».
C'est également manifestement le point de vue des organes scientifiques de l'Union Européenne. Même l'UE ne voit aucun besoin de se prononcer contre l'autorisation de la vitamine K3 comme complément alimentaire. Actuellement, tous les additifs autorisés dans l'UE (également la vitamine) sont soumis à un nouveau contrôle par des organismes spécialisés de l'UE, qui n'ont aujourd'hui pas établi la preuve des effets secondaires communiqués. Ce n'est pas dû au fait qu'il reste des doutes sur la sécurité ou l'efficacité des additifs alimentaires et des vitamines. Cela s'est passé dans le cadre d'une nouvelle évaluation générale suite à la nouvelle ordonnance sur les additifs alimentaires (ordonnance (CE) N° 1831/2003 du 22.09.2003). L'interdiction de l'utilisation de la vitamine K3 chez l'homme est liée au fait que les nouveaux nés ne possèdent en quantité suffisante l'enzyme nécessaire à l'assimilation de la vitamine K3 et qu'ils n'ont pas la capacité de la générer. Ce « défaut » cependant est uniquement humain. Pour les animaux (volaille), il a été réalisé des essais avec une surdose de 1000, sans qu'aucun effet secondaire néfaste ne se manifeste. Des sites Internet présentent des tests en cours, dans lesquels la vitamine K3 a été injectée en surdose directement sous la peau ou dans les muscles. Ce sont des méthodes qui n'ont rien en commun avec l'absorption de vitamine K3 dans la nourriture, car elles ne suivent pas le chemin normal d'assimilation par le corps. Selon les connaissances objectives actuelles, les critiques sur la vitamine K3 n'ont rien de fondé. Nous nous tenons bien sûr informés de la progression de ces connaissances.
Maintenant, les opposants à la vitamine K3 demandent à ce qu'elle soit remplacée par la vitamine K1. La vitamine K1, dont on chante tant les louanges, n'a jusqu'à présent jamais été utilisée en quantité notable, parce qu'elle présente des problèmes technologiques importants. Par exemple, la vitamine K1 est beaucoup plus instable que la vitamine K3. Et qu'apporterait à l'animal un additif de vitamines qui n'est pas stable ? On peut aussi dire que jusqu'à 1999, la vitamine K1 n'était absolument pas autorisée dans l'alimentation des animaux. Jusqu'en 1999, tous les animaux n'ont reçu que de la vitamine K3. Si cette vitamine était aussi dangereuse qu'on le dit aujourd'hui, nous n'aurions maintenant que des animaux malades. Et ce n'est en réalité pas le cas, bien au contraire. Il est donc évident que ces allégations ne peuvent pas être la vérité.
En outre, selon nos informations, toutes les études relatives aux effets de la vitamine K sur les animaux n'ont été effectués qu'avec de la vitamine K3. Aucune étude complète n'a été effectuée sur les animaux avec la vitamine K1. Et même aucune étude de toxicité n'aurait été réalisée à grande échelle avec la vitamine K1. Il n'existe donc aucune informations sur les possibles effets secondaires de la vitamine K1 administrée à forte dose dans la nourriture des animaux domestiques ou du bétail.
Comme vous pouvez le comprendre maintenant, nous utilisons une faible quantité de vitamine K3 pour garantir la sécurité de nos aliments. Elle représente environ 0,0001 % ou 1mg/pour 1000 g. Nous pensons que cet ajout est raisonnable, car l'assimilation de la vitamine K présente naturellement dans la nourriture peut être réduite dans certaines situations de charge. Ce complément faible mais efficace est une sécurité et évite une carence en vitamines possible dans certaines situations.
(* cf. Discours inaugural Dissertation du Dr. Carolin Hupfeld : Recherche sur les inséparables (Agapornis), relative à l'acceptance de différents contenus de vitamine K3 dans un aliment unique, 2003)
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Proportion de viande
Il faut d'abord préciser que la proportion de viande – même si on le dit souvent - n'est en fin de compte pas un critère de la qualité d'un aliment.
- En toute logique, un aliment avec une forte teneur garantie à protéine brute doit contenir une part importante de viande, car la protéine brute représente la plus grande part dans les produits alimentaires pour animaux.
- Plus la quantité de protéines est élevée, plus la part de viande est importante. Mais à teneur en protéine égale, la part de viande n'est aucune incidence sur la qualité de la nourriture. Il y a viande et viande. Il y a la viande grasse, la viande maigre, la viande riche en os....
- Pour obtenir une même part de protéines, il faut par exemple utiliser plus de viande grasse,car en raison de cette teneur en graisse, elle contient automatiquement moins de protéine brute. Il faudra forcément moins de viande maigre, car elle contient moins de graisse et plus de protéine brute.
Lorsque l'on compare différents aliments, il faut d'abord penser qu'il existe d'autres sources animales de protéine brute (p.ex. l'œuf, le lait en poudre, la farine de poisson etc.), qui constituent un apport formidable en protéine brute (mieux en acides aminés). Dans la mesure où ces protéines animales sont utilisées, la proportion de viande doit être réduite pour éviter un excès de protéines. Cet excès doit être évité autant que possible, en particulier pour les chiens.
De plus, la part de viande dépend de la recette globale et de la teneur en protéines des différents ingrédients. Lorsque, par exemple, un aliment comporte une forte proportion d'ingrédients à faible teneur en protéine (p.ex. farine de blé), il faut automatiquement augmenter la part en protéine brute d'origine animale par d'autres produits comportant des protéines pour compenser ce manque. Ces quelques exemples démontrent clairement que la part de viande n'est pas une mesure adaptée pour déterminer la qualité d'un aliment.
Nous souhaitons tout de même préciser que la part de produits bruts d'origine animale est d'env. 1 % par % de protéine brute, c'est-à-dire que pour un aliment d'une teneur garantie de 25 % en protéine brute, cela fait au minimum environ 25 % .
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Céréales :
Nous utilisons des céréales complètes, provenant en majorité du Sud de l'Allemagne. Ce sont : le maïs, le froment, l'orge. Le riz vient surtout du Sud de l'Europe (Italie du Nord). En outre, certains produits contiennent encore de la farine de céréales (p.ex. farine de blé du Sud de l'Allemagne).
(Il faut préciser que pour nos produits Premium, nous donnons généralement la composition afin que vous puissiez facilement voir sur l'emballage les produits utilisés.)
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Quels produits de viande sont utilisés dans les aliments pour animaux bosch ?
Ces produits incluent de la viande séchée d'animaux d'abattage :
- volaille, agneau, bœuf et porc.
- Les produits bruts viennent exclusivement d'animaux propres à la consommation, validés et abattus pour une consommation humaine.
- Nous n'utilisons pas de produits provenant d'établissements d'équarrissage (ce qu'on appelle farines animales ou déchets d'abattage, qui sont impropres à la consommation tels que cornes, griffes, etc.).
- Les produits de viande sont chauffés et séchés en toute sécurité directement dans les usines de production, conformément aux sévères lois allemandes et européennes. Ils viennent exclusivement d'Allemagne et d'autres pays limitrophes membres de l'UE. Une exception est faite pour l'agneau, car l'UE en abat trop peu. Ce besoin est couvert par des importations en particulier d'Australie ou de Nouvelle-Zélande.
(Il faut préciser que pour nos produits Premium, nous donnons généralement la composition afin que vous puissiez facilement voir sur l'emballage les produits utilisés.)
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Œufs et dérivés
Qu'entend-on par « œufs et dérivés de l'œuf » chez bosch ? Nous utilisons de la poudre d'œuf (Allemagne, France) déshydratée avec précaution.
(Il faut préciser que pour nos produits Premium, nous donnons généralement la composition afin que vous puissiez facilement voir sur l'emballage les produits utilisés.)
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Produits végétaux
Nous utilisons des farines légumes riches et déshydratées avec soin (céréales hautement digeste Epautre, Pois,Orge, Mais pulpe de betteraves, amidon de pomme de terre etc.. ) et d'origine allemande, présentant une fraîcheur optimale.
(Il faut préciser que pour nos produits Premium, nous donnons généralement la composition afin que vous puissiez facilement voir sur l'emballage les produits utilisés.)
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Huiles et matière grasse
IL s'agit des graisses animales (riches graisses de volailles et de bœuf). Les matières grasses proviennent exclusivement d'animaux propres à la consommation, c'est-à-dire abattus pour la consommation humaine.
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Poissons et dérivés :
Nous utilisons des farines de poisson riches et déshydratées avec soin (de poisson de haute mer en raison de leur forte teneur en acides gras Oméga) et d'origine allemande, présentant une fraîcheur optimale.
(Il faut préciser que pour nos produits Premium, nous donnons généralement la composition afin que vous puissiez facilement voir sur l'emballage les produits utilisés.)
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Combien de fois par jour doit-on nourrir son chien ?
L'estomac d'un chien pouvant absorber une grande quantité de nourriture, une fois et une quantité raisonnable suffit pour un chien adulte ayant une activité physique faible. Pour les chiens sensibles ayant tendance à présenter des troubles digestifs, pour les chiens ayant une forte activité physique, répartissez la prise de nourriture sur deux voire trois repas. Après le repas, le chien doit pouvoir se reposer deux à trois heures pour bien digérer. Pour les chiens de travail, le dernier repas doit être pris si possible au moins 6 heures avant le travail, pour garantir une efficacité optimale de l'animal. Le premier repas suivant le travail doit avoir lieu 2 - 3 heures après. Évitez autant que possible les heures de repas irrégulières car elles défavorisent l'activité de digestion.
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